Extrait
Quelque part en Bretagne, au domaine du Professeur Erlin.
Frédéric est endormi et sombre dans une spirale sans fin. Soudain il entend des voix autour de lui. Une lumière intense s’approche de lui à toute vitesse. Il ferme ses yeux. Quand il les ouvre tout autour de lui a changé. Il se retrouve à présent dehors sous un soleil de plomb. Il a l’impression d’avoir déjà vu cet endroit. Il sort de la ruelle où il se trouve. Vêtu de haillons le voilà pieds nus.
« Ce n’est pas moi » pense-t-il. De la voie principale où il se trouve il aperçoit des marchands, des enfants, des femmes, des vieillards. Au loin il distingue une grande pyramide qui semble bizarrement plutôt récente. Fasciné, il s’approche. Soudain dans une habitation il entend des cris. Il s’approche discrètement. Il s’aperçoit qu’il se trouve dans le quartier réservé aux gardes de Pharaon. Il se plaque contre le mur juste au coin d’une fenêtre. Un homme hurle sur sa femme. Il est grand, fort et musclé. Le type met une gifle à sa compagne qui part dans une autre pièce en pleurant. Seul, le gars enrage. On frappe à sa porte. Il ouvre. Une autre personne dont le visage est dissimulé par une capuche, entre.
– Ah. Te voilà enfin. On m’a demandé de Quelque part en Bretagne, au domaine du Professeur Erlin.
Frédéric est endormi et sombre dans une spirale sans fin. Soudain il entend des voix autour de lui. Une lumière intense s’approche de lui à toute vitesse. Il ferme ses yeux. Quand il les ouvre tout autour de lui a changé. Il se retrouve à présent dehors sous un soleil de plomb. Il a l’impression d’avoir déjà vu cet endroit. Il sort de la ruelle où il se trouve. Vêtu de haillons le voilà pieds nus.
« Ce n’est pas moi » pense-t-il. De la voie principale où il se trouve il aperçoit des marchands, des enfants, des femmes, des vieillards. Au loin il distingue une grande pyramide qui semble bizarrement plutôt récente. Fasciné, il s’approche. Soudain dans une habitation il entend des cris. Il s’approche discrètement. Il s’aperçoit qu’il se trouve dans le quartier réservé aux gardes de Pharaon. Il se plaque contre le mur juste au coin d’une fenêtre. Un homme hurle sur sa femme. Il est grand, fort et musclé. Le type met une gifle à sa compagne qui part dans une autre pièce en pleurant. Seul, le gars enrage. On frappe à sa porte. Il ouvre. Une autre personne dont le visage est dissimulé par une capuche, entre.
– Ah. Te voilà enfin. On m’a demandé de m’adresser à toi. Tu peux faire quelque chose pour moi ?
Une voix étrange répondit. Fred, sous les traits d’Ismeth ne voyait pas l’individu.
– La compagne de ce mendiant a le même visage que la tienne. Tout le monde va croire qu’elle te trompe avec lui.
– Mais, elles sont sœurs. Bien qu’Ismeth soit un lâche et un moins que rien, on ne peut pas les confondre.
– Imbéciles, elles sont identiques. Tes yeux ne voient rien. Un jour ce sera toi qui seras à la rue, hué, persécuté. Si tu veux prendre sa place, je peux tout changer.
– Non. Je veux juste devenir riche, respecté et avoir les faveurs de Pharaon.
– Bien. Si tel est ton souhait !
L’homme se mit à courir vers le marché. Il se cacha derrière un étal de fruits. Une vieille femme vint en acheter. Au moment de partir elle fut bousculée par le garde. Un fruit roula au sol. Ismeth le récupéra. La suite, malheureusement on la connaît. Au moment de la sentence Fred revint à lui dans un tourbillon. Il garda les yeux fermés. Il entendit la voix de Rachel.
– Ça suffit. C’est sa première fois. Il a déjà subi tant de choses. Et puis tout a été enregistré, non ?
– Exact, répondit Arthur.
– Incroyable, dit le Père Tredam. Comment avez-vous fait ?